Ce samedi 25 mai, les Faucheurs de Marguerites à l'invitation du Commandant Savary et du Musée de la Résistance et de la Déportation, ont rendu hommage à l'équipage du Short Stirling abattu le 29 novembre 1942 tout près de Sinceny sur le territoire de la commune de Viry Noureuil.
Au micro le Commandant Savary, sur sa droite le fils du pilote Franck Gartland venu de nouvelle Zélande, et derrière le seul survivant de l'équipage le bombardier Cyril Penna 91 ans venu d'Angleterre.
Les tombes des trois membres de l'équipage ayant perdu la vie au cours de cette nuit
Phil et Nono attentifs et recueillis
Puis nous nous sommes rendus avec les officiels sur les lieux du crash à Viry Noureuil ou le Commandant Savary a érigé une stèle en mémoire de ces hommes
De gauche à droite
Au micro le Commandant Savary, sur sa droite le fils du pilote Franck Gartland venu de nouvelle Zélande, et derrière le seul survivant de l'équipage le bombardier Cyril Penna 91 ans venu d'Angleterre.
Les tombes des trois membres de l'équipage ayant perdu la vie au cours de cette nuit
Phil et Nono attentifs et recueillis
Puis nous nous sommes rendus avec les officiels sur les lieux du crash à Viry Noureuil ou le Commandant Savary a érigé une stèle en mémoire de ces hommes
De gauche à droite
Le Commandant Savary, Cyril Penna (bombardier du Stirling) et le fils du pilote Franck Gartland
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]Vers 15 h débuta au Musée la conférence et le récit de la chute du Short Stirling, par son auteur qui retraça avec force détail l’épopée héroïque de cet avion et de son équipage.
[/center]Cyril Penna la larme à l’œil a tenu a remercier le courage des Français qui l'ont hébergé durant son périple de retour en Angleterre.
A l’instigation de Hélène, Cyril Penna désira nous rencontrer, et avons pendant 3/4 d'heures parlé à bâtons rompus grâce à notre traducteur favoris Phil;
Cyril Penna en grande conversation avec Phi et JP
Parmi nos questions empressées, il nous raconta pourquoi il était devenu partiellement sourd, à cause du bruit des moteurs et des bombardements, comment se comportait le Stirling, et la trouille qu'il avait comme tout l'équipage à chaque mission. Il nous a fait partager l'angoisse d'un raid, à travers la France, le passage des Alpes à frôler les montagnes,le fait de louper l'objectif et de devoir recommencer une seconde fois et plein d'autre chose.
Un instant de bonheur pour nous et pour lui un peu étonné que 70 ans après l'on s’intéresse encore à son histoire extraordinaire
Bref ce fut pour nous une rencontre exceptionnelle